En Italie, la longue banalisation des partis néo-fascistes

Des soutiens de Giorgia Meloni et sa formation post fasciste à Milan le 11 septembre dernier. ©AFP - PIERO CRUCIATTI
Des soutiens de Giorgia Meloni et sa formation post fasciste à Milan le 11 septembre dernier. ©AFP - PIERO CRUCIATTI
Des soutiens de Giorgia Meloni et sa formation post fasciste à Milan le 11 septembre dernier. ©AFP - PIERO CRUCIATTI
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A quelques jours des élections, la coalition droite/extrême droite est créditée de 45 % des intentions de vote, et Giorgia Meloni, pressentie pour devenir cheffe de gouvernement. Comment Fratelli d'Italia, un parti néofasciste, peut-il être aux portes d'acquérir une telle légitimité politique ?

Avec
  • Stefanie Prezioso Professeure d’histoire contemporaine et à l’université de Lausanne

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